Les fleurs, leurs beauté simple et gratuite, leurs senteurs comme une main tendu vers le recueillement et l'introspection de son être. Une lueur dans un espace marqué d'une ombre virtuelle. Une lumière délicate, indescriptible, tournée vers le soleil, une vague mémoire lointaine, étouffée par la pression quotidienne et inutile comme un luerre, 
Un luerre, un parfum insceptible qui nous coupe de la plénitude, tellement chercher.
UN LIEVRE, qui court, qui court , de plus en plus, à travers, les champs secs et arides pour disparaitre une poussière terreuse. Après quoi court, qu'il ? ou à qui veux-t-il échappé ?
la poussière ocre qui prends à la gorge, qui couvre la soleil, torpille la poitrine ET ronge le yeux.

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